Cerf Animal Totem, Noblesse du Masculin Sacré

Résumé

cerf animal totem

Le cerf, représenté dans la mythologie celtique par Cernunnos, le « Dieu Cornu » ou le « Bellement Corné », est symbole de puissance masculine, de virilité et de fécondité. C’est durant le rut, la période du brame que le cerf doit féconder sa harde de biches. Ces dernières ne sont sexuellement réceptives qu’une journée par an. Autant dire que monsieur cerf se doit d’être en forme. Cernunnos est souvent représenté mi-homme mi-animal avec de grands bois et un énorme sexe. Ses grands bois tombent chaque année en hiver pour repousser au printemps. Ils sont un symbole de résurrection permanente. Ils représentent les antennes intuitives du cerf qui le guident sur le chemin afin de retrouver sa noblesse, sa dignité perdue. Les bois chutent chaque année comme pour apporter une nécessaire humilité au cerf. Sa puissance, entourée de toutes ses prétendantes, pourrait lui monter à la tête et faire de lui un gougeât !  Le cerf est un symbole royal, ses bois en sont sa couronne sacrée. L’ambigüité du roi c’est de savoir s’il sert humblement son peuple ou s’il se sert impunément de lui ! Comment l’homme va-t-il user de la médecine du cerf ? C’est grâce à son féminin sacré, la biche, que le cerf trouve l’équilibre yin/yang, le couple majestueux. Il représente alors une noblesse sacrée, une profonde dévotion dédiée à son rang noble. Le cerf représente alors l’archétype du masculin sacré, l’homme puissant qui protège son féminin sacré fragile. C’est le parfait symbole du roi et de la reine accomplis.  

L'Énergie Positive du Cerf

L’Energie Positive du Cerf est celle de la noblesse sacrée et de la dignité. Le cerf à la fois fin et majestueux se tient droit, bombe le torse. Il est charismatique. Sa présence impose le respect. Il marche avec grâce, le cœur en avant et la tête relevée. Il est fier mais non orgueilleux. Juste fier de qui il est et ce qu’il sert. Il est le roi dans la cour de dame nature. Le cerf puissant protège ses biches fragiles. Il met sa puissance virile et masculine au service de ces dames et dans un registre plus large, il protège et sert les plus faibles. Le cerf est à la fois cette puissance et cette fragilité, un grand yang et un grand yin. C’est d’ailleurs en acceptant l’un qu’il accepte l’autre. Il est comme un Robin des Bois dans sa grande forêt. Il a une place à part dans celle-ci, c’est l’animal fort entouré de sa cour. De ces hauts bois, symbole de la couronne royale, il est connecté au céleste. Il reçoit alors, par son intuition féminine son grand-œuvre à réaliser en tant qu’homme. C’est là toute la magie du masculin et du féminin. Le féminin est réceptacle/yin, il reçoit l’amour créateur. Plus elle se sent protégée, aimée et en sécurité grâce à son masculin sacré, plus elle ouvre sa coupe, son cœur. Par amour pour son masculin et avec foi elle lui transmet la création reçue de l’univers. Celle-ci peut-être de multiples natures. Cette « création » ou conscience sera exactement ce que le couple royal a besoin pour faire grandir son unité. Enfin, le masculin accepte humblement et avec reconnaissance de recevoir du féminin sacré. Il va pouvoir mettre en mouvement c'est-à-dire manifesté la création dans la matière de par son énergie yang, active.
Le mariage des opposées est devenu la complémentarité créatrice. La magie du cerf repose sur cette relation masculin/féminin, yang/yin. Ici le roi et la reine se servent mutuellement car ils ont chacun leur juste place. Ils se respectent. C’est réellement la reconnaissance de l’unité des opposés. Reconnaître que le jour et la nuit ne font qu’un, que l’homme et la femme ou encore l’enfer et le paradis ne sont qu’une même chose. L’amour contient la haine. Reconnaître en chaque chose l’unité de la création, sans distinction du bien et du mal, c’est chose compliquée pour notre mental. Il n’y a que le cœur, que l’amour, et par là un niveau de conscience supérieure, une connexion avec le sacré qui permettent cette perception non duelle des choses. Pour cela le cerf doit trouver le parfait équilibre : le centre. C’est uniquement centré dans son cœur qu’il peut observer le yin et le yang dans une conscience de parfait équilibre et surtout de parfaite complémentarité. C’est dans le cœur qu’il peut s’accepter tel qu’il est et forcément accepter les autres et la vie tels qu’ils sont. C’est la puissance de l’acceptation : la noblesse sacrée.  
Le cerf devra équilibrer parfaitement ses bois et par là son cerveau gauche, masculin et son cerveau droit, féminin. Il devra aussi accepter de les perdre chaque année. Pour lui ce sera accepter de perdre un passé révolu. Cette perte, telle une chute lui impose l’humilité, la sagesse, la remise en question, la résurrection permanente. Ce qui était vraie hier ne l’est plus. Chemin d’adaptation et de perfectionnement. La vie demande élévation. Pour cela il faut en accepter le prix, les pertes et les chutes. C’est accepter, en tant que « roi des forêts » de perdre le « pouvoir ». L’amour du pouvoir est propre à l’énergie masculine. C’est l’énergie négative de Mars et de son octave supérieure Pluton. La grandeur du cerf tient dans cette phrase « De l’amour du pouvoir au pouvoir de l’amour ». En acceptant de perdre son pouvoir mental, il renaitra avec de nouvelles consciences venues du cœur. Le pouvoir c’est quelque chose de grisant lorsque nous nous sentons puissants. Tôt ou tard, la perte et la chute reprennent le pouvoir volé à l’univers. Nous n’avons aucun pouvoir. Le génie, c’est d’accepter d’être l’instrument qui permet le pouvoir infini de l’unité. Ceci est noblesse sacrée mais il est difficile de l’entendre et surtout tentant de s’accaparer le pouvoir !
Le cerf, puissant symbole du masculin sacré, doit donc faire le tour de la question ! Qu’est ce qu’un homme dans le sens de l’unité ? Qu’est ce qu’un saint-homme, un sage ? Qu’est ce que Cernunnos ? Le cerf c’est la puissance plutonienne, l’octave supérieure du masculin sacré. C’est le guerrier de lumière qui devient le guerrier pacifique, celui qui sait gagner sans combattre. C’est celui qui aura su faire le passage du chakra du plexus solaire au maître-cœur rose. C’est uniquement dans le maître-cœur qu’il sera le noble roi honorant et défendant ses biches. Pluton, planète transpersonnelle, demande de devenir rien pour être tout. Elle est la dissolution totale du mental. Elle oblige la purification, la transparence de l’esprit/mental qui tel un pur diamant laisse passer l’âm-agie de la toute puissance du cœur. Le cerveau gauche, analytique et masculin se met au service du cœur ! (Neptune étant l’octave supérieur du féminin sacré et par là cerveau droit). Devant Pluton soit nous mourons, soit nous acceptons de vivre dans le sens de l’unité : dévotion, serviabilité, grandeur d’âme, sagesse, humanité, etc.
A bien y regarder c’est extrêmement simple ! La vision positive du cerf est celle d’un mâle puissant et protecteur au service de ses biches, au service du peuple : dévotion, incarnation sacrée du roi. Cette incarnation du sacré passe par ses bois, traversant la tête, parfois résistante pour descendre jusqu’au cœur. Son brame devient alors le chant de sa fierté d’être, la revendication de sa couronne sacrée. Le brame devient son hymne identitaire, nourissant de fierté toutes ses biches. Il fédère, unit. C’est le noble qui sert son peuple, capable de grande cause pour l’humanité. Il devient symbole de richesse pour toute une communauté.

L'Énergie Négative du Cerf

L’Energie Négative du cerf serait la vision d’un mâle dominant asservissant toutes ses biches. Un dictateur, un tyran, un pervers qui a pris le pouvoir et qui se prend pour l’incarnation du pouvoir suprême. Le mauvais roi. Comment en est-il arrivé à cette perversion ?
Les cerfs puissants se battent le pouvoir entre eux, parfois jusqu’à la mort. Le perdant deviendra la victime, le sous-maître victime et soumis qui accumulera sa haine et ruminera sa revanche avec machiavélisme. Devenu servile, il fera des petits pas, tête baissée, se sentant faible et impuissant. Il aura perdu toute sa noblesse, toute sa virilité. Il servira à contre cœur avec une haine toute rentrée jusqu’au jour où il explosera. Il fera alors sa révolution guerrière en en voulant au monde entier. Ce sera le temps de la vengeance au service de la haine. La haine aura eu raison de lui parce qu’il n’aura su retrouver son rang, sa dignité. C’est l’enfant maltraité qui un jour vient à l’école avec une arme et tue tout le monde en représailles. Le châtiment. N’acceptant pas sa servilité, il devient dominant. Si le cerf est un symbole fort de virilité et de masculin sacré, qu’en est-il s’il perd cela ? Il aura eu l’impression de perdre son pouvoir et n’aura de cesse que de vouloir le retrouver, de vouloir posséder le pouvoir à nouveau. Eh le pouvoir le possédera. Il deviendra violent, dangereux, vengeur. De servile, il deviendra vaniteux, espiègle, calculateur. Le cerf voudra contrôler et posséder les siens. Voilà que le beau mâle charmeur est devenu un pervers manipulateur. Il charme, tente, manipule et se nourrit de ses proies. Il a besoin que sa cour, que son harem se mettent à ses pieds. Il ordonne, donne des ordres en bramant. Il est le roi, qu’on se le dise ! Il veut asservir les siens. Le mâle dominant s’est coupé de sa sensibilité féminine, de son intuition pour ne pas dire de sa clairvoyance. Le cerveau gauche masculin et analytique se sera coupé de son cerveau droit féminin et intuitif. Dualité entre l’un et l’autre en lieu et place d’union. C’est le divorce intérieur. Le totem du cerf sera alors d’une grande aide pour guérir ces dualités yin/yang profondes.
Dans l’état d’esprit négatif du cerf, ce sont les blessures non guéries qui prennent le contrôle. Il n’y a plus de maîtrise de l’esprit mais bien un esprit possédé, hanté par ses mémoires. Les blessures auront fait le monstre. Pour autant, il ne faut jamais oublié qu’aussi gros soit le monstre, il ne l’est que par ses souffrances non résolues. Le roi est devenu un bourreau. Si le bourreau s’accapare le pouvoir, alors il devient la caïd qui ne guide plus mais domine avec orgueil.  Le parfait dictateur dont la chute n’est qu’une histoire de temps. S’il garde en lui un semblant de noblesse, alors il a honte de qui il est : ce bourreau pervers. Tout honteux, il se cache. Il a peur de briller parce que briller voudrait dire mettre en lumière ce dont il a le plus honte : son propre monstre, son propre ennemi. La fuite sera sa marque de fabrique. Il se fuira lui-même. Il aura peur de son propre monstre. Il lui deviendra impossible de redorer son blason. Pourtant, il faudra bien que tôt ou tard il se remette en selle tel un guerrier de lumière : guérir sa haine ! Il lui faudra une foi et une force toute masculine pour affronter son ennemi intérieur. Bravant la peur, le mâle retrouvera sa noblesse sacré, sa dignité d’homme. Le chemin de compassion est long pour le cerf. C’est là tout son chemin ! Accepter ce qui a été, pardonner, demander pardon et le plus difficile : se pardonner l’impardonnable, l’inacceptable ! De coupable, il acceptera de devenir responsable. Lorsque nous acceptons notre propre responsabilité, il n’y a plus de fuite. Il y a, noblesse oblige, humilité ! La noblesse véritable ne peut exister sans humilité. L’humilité est sans aucun doute la clé pour retrouver « sa majesté ». C’est faire amende honorable et accepter que nous nous sommes trompés. L’être humain est un apprenti sur terre, il doit se donner le droit à l’erreur. Pour cela, il faut une force de compassion envers soi-même. Nous croyons souvent qu’il faut beaucoup de compassion pour les autres, mais en vérité il en faut beaucoup pour nous-mêmes, sans quoi nous n’aurions pas de « juge intérieur ». Sans compassion envers soi-même, nous nous sentons sans cesse coupable, nous nous jugeons puissamment. Il est alors tant de demander  pardon  aux biches et de se pardonner en prenant conscience que nous sommes des apprentis-sages en quête de sagesse. Nous avons commis beaucoup de folies ici bas. Ces folies sont expériences puisque nous sommes immortelles. Il est noble d’accepter toutes nos expériences de toutes nos vies. Accepter nos expériences quelles qu’elles soient c’est prendre conscience, c’est apprendre. Nous sommes sur cette terre pour cela : apprendre de nos expériences.
Un chemin noble est un chemin spirituel qui nous invite à éclairer toutes nos mémoires d’hier. Le cerf négatif, masculin honteux et monstrueux, est bloqué dans son cerveau gauche. Il est borné et entêté. Il est extrêmement binaire : c’est bien ou c’est mal. C’est pourquoi il se juge tant et a tant honte de son homme intérieur. Ce cerveau gauche, pour ne pas dire ce bois gauche et peut-être un peu gauche…, se doit absolument d’être compensé par son complémentaire : le cerveau droit intuitif et féminin. La femme redevient l’initiatrice de l’homme, la biche du cerf. Sans cette fusion yang/yin, le cerf créé ses propres conclusions à son propre avantage en sautant quelques équations. Il fait ses propres lois et est convaincu qu’elles sont la vérité absolue pour tous. La science, parfait cerveau gauche rejette naturellement ce qu’elle ne voit pas et ne comprend pas. Je ne vois pas, je ne comprends pas donc ça n’existe pas. Voilà des conclusions hâtives qui manquent cruellement d’humilité. La science et la spiritualité sont de parfaits exemples. Nous pourrions croire qu’elles sont incompatibles. Pourtant elles sont comme le yin et le yang, complémentaires. La science est masculine lorsque la spiritualité est féminine. La science a longtemps rejeté la spiritualité, n’est-ce pas ? Comme l’homme a souvent remis la femme a un rôle secondaire ! Pour autant aujourd’hui, la science et la physique quantique ne font que valider pas à pas ce que la spiritualité tente d’expliquer depuis la nuit des temps. Le yin, féminin est initiateur du yang masculin. La conscience intuitive sait et la conscience analytique décortique. Les deux ont leur place. Il est juste nécessaire d’accepter la guidance intuitive de notre féminin sacré : cela s’appelle la foi. Nous pourrions dire que le cerveau droit reçoit le symbole créateur, la création, et que le cerveau gauche la décode afin de la rendre possible, manifeste. Manifester la création de dieu sur terre. C’est la symbiose des deux qui permet l’unité et non la suprématie du masculin ! Suprématie actuelle dans ce monde. En conclusion, le cerf ne doit pas se servir de sa biche mais la servir. La servir ou l’asservir ? Dans tous les cas, la biche sera l’extrême onction du cerf. 

L'Epreuve du Cerf

L’Epreuve du cerf est le passage de la servilité à la serviabilité. Servile, il sera faible, abusé et tourmenté. Cela fera de lui un blessé aigri et vengeur. Il pourra devenir tyrannique, malicieux. La haine le gagnera. Il voudra à son tour se servir et abusé les faibles. Il abusera les biches en lieu et place de les protéger et de les servir. C’est ainsi que de servile puis vengeur il doit devenir serviable. C’est tout un chemin d’acceptation. Accepter d’avoir été le serf esclave abusé, accepter d’être devenu le dominant à son tour, perdre ses bois de la tentation de la domination malsaine pour enfin renouer avec son origine céleste : la grandeur, le sacré, la sagesse, la noblesse. D’une servilité, puis d’une puissance dominatrice il deviendra humble et serviteur du grand tout. C’est à ce moment là qu’il deviendra un grand sage tel un bon roi. Il sera aimé de toutes ses biches qu’il saura honorer. Il honorera sa couronne sacrée. Le Cerf devra donc passer outre ses outrages d’antan, accepter, pardonner et se pardonner sa haine. C’est ainsi qu’il nourrira en lui la compassion, l’amour de ses prochains. Il deviendra alors un beau « maître-cœur rose » sachant utiliser son énergie plutonienne. De servile à dictateur, il deviendra, haut les bois, un Abbé Pierre, un Gandhi empli de grâce et de respect. A bien y regarder ce passage est celui de la haine à l’amour. Il devra retrouver l’amour perdu. Il devra arrêter de calculer avec son cerveau gauche masculin et se laisser guider par son cerveau droit féminin. Le  féminin n’est-il pas l’initiateur du masculin ? Pour autant un féminin duel est rempli de haine ! Elle a la haine de l’homme de pouvoir. Se pardonner sa propre haine est la clé. C’est pardonner sa guerrière d’avoir pris une place d’homme, un inversement ! Quand le masculin est dominant, le féminin est castrateur. C’est la dualité destructrice où la femme et l’homme cherchent à se voler leur propre pouvoir ! Le masculin veut posséder la coupe réceptacle d’amour et la puissance de la haine  et ce afin de posséder la guerrière destructrice. Le féminin veut posséder le glaive créateur et la puissance du pouvoir et ce afin de posséder le guerrier destructeur. Dans les deux cas, l’un et l’autre cherchent à se posséder. Pour ce faire il faut posséder, c'est-à-dire détruire l’autre : haine et pouvoir. La vie de tous les jours est ce triste spectacle à la fois visible et invisible. A la fois extérieur et intérieur. D’ailleurs, si nous le vivons à l’extérieur c’est que le miroir de la vie ne fait que nous montrer ce qui se passe à l’intérieur ! Le cerf et la biche doivent chacun reprendre leur propre place ! Elle réceptrice de l’amour et lui manifestant de l’amour. La femme, la biche joue un grand rôle dans ce passage de la libération à la fois du mâle dominant et de la femme castratrice. C’est ainsi qu’il devra toucher avec son cœur l’amour, la sexualité sacrée. D’une sexualité bestiale il devra s’ouvrir à une sexualité tantrique où ni abusé ni abuseur ne subsistent. C’est l’expérience de la fusion, l’expérience du tout. Epreuve Sacrée !

La Médecine du Cerf

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La Médecine du Cerf tiendrait en un mot « Avatar ». Le terme « Avatar » trouve son origine en Inde et signifie « descente, incarnation divine ». Dans l’hindouisme, un avatar est une incarnation d’un dieu, venu sur terre pour rétablir le dharma, sauver les mondes du désordre cosmique. La médecine du cerf toute masculine, est donc « l’incarnation de l’homme sacré ». Passer du mâ-sacre au sacre de l’âme. C’est l’acceptation et la reconnexion à l’être sacré que nous avons toujours été et dont nous avons eu l’illusion de la séparation. L’expérience du cerf c’est le passage de la séparation de l’esprit/mental et de l’âme/cœur à l’unité. C’est accepter que l’esprit se doive d’être l’élève et que l’âme le maître. C’est accepter l’enseignement sacré par ses bois sacrés. Lorsque le cerf perd ses bois, il devient rien. Lui rappelant que pour être tout il faut accepter d’être rien : l’humble serviteur, l’esprit saint devenu instrument. Le cerveau gauche et droit au service du cœur ou Osiris et Isis au service d’Horus, la trinité retrouvée. C’est le triangle sacré. Connectée à la source universelle par ses bois, la médecine du cerf ramène l’homme dans son statut originel de Masculin Sacré. C’est le couronnement de sa médecine. Devant la pureté de sa noblesse masculine retrouvée, le Féminin Sacré l’honore et accepte de recevoir son phallus primordial en sa coupe. C’est la fusion tantrique originelle qui créé le Grand-Œuvre, la création vivante universelle. La médecine du cerf est une invitation au saint-sacrement, au sacre de l’Homme Sacré sur terre : l’Homme Spirituel par la douce présence du Féminin Sacré. Ce que se doit d’être un Roi ! Noblesse Sacrée !


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