Âne Animal Totem, Miroir Du déséquilibre
Résumé
L’âne est un sacré malin, un maître et un éveilleur de conscience hors pair ! Soyez trop dominateur avec lui et il deviendra aussi « bourrique » que vous ! Soyez trop gentil avec lui et il vous fera « tourner en bourrique ». Autant dire que l’âne nous oblige l’impeccabilité, le juste équilibre, le ni trop ni trop peu. Dans la culture et l’histoire l’âne est tantôt vue comme un animal diabolique épris d’ignorance, de malfaisance, de paresse et de luxure, tantôt comme un symbole d’humilité, de patience, d’ascétisme, de dévotion, de courage, de persévérance ! Quel malin cet âne ! Il est juste le parfait miroir de celui qui le regarde et/ou s’en occupe ! Celui, honteux de sa sexualité, prude par auto-jugement voyait en l’énorme sexe de l’âne le symbole d’une luxure diabolique. Il se voyait donc… Celui qui voyait en l’âne un animal affectueux, travailleur, intelligent et dévoué à son maître le respectait avec gratitude. Cet homme là était lui-même un homme hautement respectable ! Ainsi donc, l’âne est le meilleur psy de l’homme depuis la nuit des temps ! Chacun pourra se mirer à souhait dedans. Une belle magie farceuse ! Par sa Médecine d’équilibriste il n’aura de cesse que de vous ramener au centre, c'est-à-dire dans le cœur, là où est l’unité. Là où le bien et le mal ont laissé place à l’acceptation et à la neutralité. Finalement, la vie est aussi entêtée que l’âne à nous élever sans cesse jusqu’au coeur, jusqu'à l'Être !
L'Energie Positive de l'Âne
Il est porteur de Marie et de l’enfant Jésus, aussi ne serait-il pas un dévoué à l’Unité ?
L’âne est un herbivore et un merveilleux défricheur. Il mange tout ce que les autres laissent : chardons, orties, buissons, etc. C’est un nettoyeur. Il se contente de peu. Ne renvoie t’il pas à l’homme de trouver un état de simplicité et de contentement permanent ?
Sur un site relatant de l’âne nous pouvons lire : « Il est disponible, sensible, calme, doux et sympathique, de caractère plutôt réfléchi, ce qui le fait souvent passer pour têtu. Un âne s'éduque mais ne se dresse pas. Il a horreur des despotes et à une excellente mémoire.
Un âne choyé et bien compris par ses maîtres peut donner entière satisfaction et passer avec eux d'excellents moments. L'âne est un besogneux encore utilisé par l'homme pour tracter, porter, labourer et depuis peu pour la balade et la randonnée de loisir. Il adore faire quelque chose avec ses maîtres et est très patient avec les jeunes enfants qui peuvent l'approcher sans trop risquer le fameux "coup de pied" que l'on redoute tant et qui est en général réservé aux "agresseurs". C'est un bon gardien et il n'a pas son pareil pour donner l'alerte lorsque quelque chose " cloche " dans son environnement en poussant son fameux cri "le braiement". »
Nous sommes loin du cancre d’école et de son bonnet d’âne. D’ailleurs celui-ci renvoyait peut-être au maître d’école son incapacité à éveiller et "élever" son élève, sauf si celui-ci cherchait à invoquer l’esprit de l’animal totem de l’âne pour son maître-élève…
L’âne a donc une intelligence sacrée qui lui est propre. Il apprécie le respect mutuel : se respecter pour respecter l’autre. Tel un grand maître d’école, il enseigne justement cela : l’estime de soi, l’amour propre. Il a une pédagogie bien à lui. Il y a tout à parier que vous succombiez tôt ou tard à sa pédagogie unique, tant il est têtu et obstiné ! Voilà un maître sérieux et fiable qui ne change pas d’avis comme de chemises : persévérant et dévoué. Patient dans « votre » éducation il vous amènera à changer votre état d’esprit vers un plus grand respect de tout et tous y compris vous-même.
Tant que nous restons à un certains niveau de conscience où le cerveau prime, nous restons dans la dualité du yin et du yang, du mal et du bien. L’énergie positive de l’âne, par son savant apprentissage, nous amène pas à pas à l’équilibre. L’équilibre s’atteint par l’acceptation de tout et tous. A partir du moment où j’accepte l’inacceptable, il n’y a plus ni bien ni mal, il y a ce qui est. Je deviens NEUTRE. Neutre est l’anagramme de « être un » c’est tout dire. Si je ne suis pas neutre, c’est que je juge, je reviens dans le bien et le mal, je reviens au plan mental. C’est là encore mon ignorance et intolérance à guérir. Intolérance qui saura prendre toutes sortes de colorations : intolérances aux autres mais aussi plus subtilement toutes intolérances comme les allergies et les intolérances alimentaires de toutes natures. Ce qui revient à dire, qu’à un autre plan, un autre niveau de conscience, sur le plan du cœur la vision de la vie est « acceptation et neutralité ». Cela parait un peu gentillet mais pour autant c’est là l’art le plus élevé ! L'inverse étend simple ignorance. Au moment où nous sommes dans « l’acceptation et la neutralité », nous sommes centrés, et permettons par notre simple présence : « être », l’équilibre parfait en chaque chose. Ainsi par la simple présence de l’être parfaitement équilibré, toute personne se meut automatiquement vers cet équilibre non sans résistance bien sûr ! Nous comprendrons une fois de plus la sagesse de « rien à faire, juste à être ». Voilà pourquoi un « Sage » n’a besoin d’aucune méthode mentale pour exercer sa pratique ! Il est lui-même la méthode et la seule méthode c’est de devenir un Maître, une Âme totalement incarnée dans un Esprit dévoué. Cela est possible lorsque l’Esprit accepte de « Devenir Rien pour Être Tout » : l’instrument ! Pour le coté plus scientifique, plus notre plan mental est au repos et plus nous avons accès au plan du cœur (21hertz à plus de 40hertz activité cérébrale de plus en plus intense ; 4 hertz nous dormons, entre 5 et 10 hertz le mental est conscient et au service du cœur sans résistance, nous sommes actif dans le yin, nous sommes actif dans le cœur). Le plan mental est donné au niveau du plexus solaire relatif à Mars, masculin sacré et dit dieu de la guerre. C’est là encore notre instinct animal à dépasser. Le plan du cœur est dit plan astral et relatif à Vénus, féminin sacré et dit déesse de l’amour, là où siège le règne humain. Plus nous maintenons une activité cérébrale intense et active moins nous sommes dans le cœur. Nous comprenons alors notre consommation d’excitants de toutes natures (café, sucre, alcool, tabac, drogue) : le plan mental a peur de mourir pour renaitre au plan du cœur, le plan mental a peur de perdre le pouvoir. Nous avons simplement peur de l’amour. L’énergie de l’âne par son comportement d’équilibriste n’aura de cesse que de nous recentrer sans cesse pour tendre vers l’unité. Cela déplaira assez souvent à notre égo (fait de nos blessures) qui résistera coûte que coûte n’en faisant qu’a sa tête bien têtue ! Peu importe, l’âne aussi têtu que nous continuera son jeu d’équilibriste. Nous pourrions presque dire que l’âne est l’équation vibratoire parfaite, celle qui calcule notre dérive et apporte la juste tension ré-équilibrante.
L’âne ne fait que nous montrer ce que la vie fait sans cesse avec nous. Elle tente de nous élever en nous équilibrant un peu plus à chaque instant. C’est évidemment sans compter sur nos résistances mentales conscientes et inconscientes qui ne veulent pas lâcher-prise. En cela l’âne est à rapprocher du vieux sage qui fera exactement comme l’âne avec vous. Il est très difficile d’accueillir et d’accepter la médecine de l’âne. C’est une médecine que notre mental/égo verra comme contraignante, mauvaise et pas sympatique du tout. L’âne deviendra très vite une bête abrutie, débile mentale et dépourvue de sens. Le parfait reflet de son gardien ! Tant que nous ne comprenons pas que la vie comme l’âne tentent à chaque seconde, de nous permettre de nous élever afin d’être en paix, nous continuerons à souffrir aussi longtemps qu’il le faudra ! Ceci est une loi universelle infaillible. Le chemin est de passer de la dualité à l’Unité. L’âne est sans aucun doute un des plus excellents animal totem pour nous guider vers l’enfant sacré… L’âne en résumé, nous conduit à aimer notre haine ce qui semblerait être le plus difficile.
L'Energie Négative de l'Âne
L’Energie Négative de l’Âne est celle du déséquilibre. Elle serait celle de celui qui voit en chaque chose et chaque personne le mal incarné. Celui qui verrait le diable en tout. L’âne étant un miroir, il reflète ce que l’on est et surtout ce que l’on ne veut pas voir de nous-mêmes. Tout le monde est la bourrique de quelqu’un d’autre finalement. Vous savez, l’autre, le diable en personne qui vous renvoie notre propre diable ! Celui qui nous renvoie la haine que nous avons en nous-mêmes et envers nous-mêmes. Tout ce que nous vivons est à la fois un miroir, un défi à relever et un enseignement. Une expérience nécessaire à affûter le plan mental pour s'ouvrir à la Conscience. Tout est absolument parfait car ce que nous vivons est l’équation vibratoire, la synchronicité merveilleuse que nous avons à vivre pour guérir et grandir. La seule question valable est : « Pourquoi ai-je attiré cette situation ou cette personne ? » Il est bien difficile de se poser cette question car elle nous renvoie directement à notre responsabilité. Il est bien plus facile de chercher un coupable extérieur ! Mais en ce faisant nous venons de rechercher un coupable à l’intérieur de nous puisque la vie est notre miroir ! Bien évidement, lorsque la situation est favorable c’est grâce à nous. Lorsqu’elle est défavorable c’est à cause des autres. Nous avons des lunettes déformantes qui nous empêchent de voir la réalité. Ne voyant pas la réalité telle qu’elle est nous ne l’acceptons pas. Alors, ni le défi à relever, ni l’enseignement, ni le miroir ne seront pris en considération. Je serai passé à coté de ce que la vie avait à me montrer et m’apprendre afin de m'élever. Que ce passera t’il ? La vie répétera la leçon autant de fois qu’il le faudra et ce d’autant plus puissamment que j’aurai fais la sourde oreille. Il faut être un sacré âne pour répéter sans cesse les mêmes erreurs…
Il y a celui qui ne voit que l’ombre certes, mais il y a aussi celui qui ne voit que la lumière. « La lumière est la meilleure » et puis très vite c’est « ma lumière qui devient la meilleure ». Aussi ma lumineuse vérité devient la vérité pour tout le monde. Bien sûr, vous comprendrez que quiconque ne respecte pas ma vérité devra mourir. L’intense lumière est devenue sectaire tout comme l’ombre. Comme quoi, ni la lumière ni l’ombre ne sont bonnes ou mauvaises ! Tout est yin et yang, tout est poison et médicament, la différence est la dose c'est-à-dire l’équilibre !
La sagesse de l’âne, c’est de permettre cet équilibre instable par nature. L’âne négatif lui ne voit que par le bien ou le mal mais cela reste une vision dualiste de la vie, une vision mentale. Le cerveau gauche (yin) et le cerveau droit (yang) ne voient pas leur complémentarité, ils ne voient que leur différence et surtout leur dualité. L’un et l’autre voulant garder sa haine et son pouvoir. La vision du cœur est celle de l’unité. Cette vision n’est accessible qu’avec un certain niveau de conscience. C’est l’éveil et l’élévation qui nous permet de se révéler à la Conscience. Et celle-ci nous permet d’intégrer une vision unitaire de la vie. Il est donc sage et humble d’avoir des difficultés à intégrer cette notion. Nous pouvons l’entendre mais difficilement la comprendre. C’est déjà un beau chemin que d’essayer de l’accepter. Bien sûr, lorsque nous vivrons cette Unité en pleine conscience, c’est que notre âne nous aura transcendé en une âme !
L'Epreuve de l'Âne
L’Epreuve de l’Âne sera sans aucun doute d’accepter sa propre bourrique, son propre âne intérieur. Tout dépend maintenant comment nous voyons notre âne intérieur ! L’âne, vous l’avez compris est « ombre et lumière » à la fois. Il est comme la vie qui est à la fois ombre et lumière, yin et yang. L’ombre est-t-elle si mauvaise que ça ? A quoi sert l’ombre ? Est-elle dissociée de l’Unité ? Il y aurait le créateur et un destructeur alors ? C’est complexe à accueillir avec notre petit cerveau tout ça ! C’est un sacré chemin que de s’ouvrir à une conscience unitaire de la vie. La tête ne peut l’intégrer qu’à partir d’un certain niveau de conscience. Un niveau de conscience est proportionnel à l’ouverture du cœur : amour de soi. Pour rappel l’amour de soi est premier, il exprime tacitement l’amour des autres. L’inverse n’étant pas vrai. Celui qui croit aimer les autres sans amour propre est un illusionniste. L’Amour Propre sous entend d’être en paix avec sa Haine Propre… être en paix avec la haine de soi-même. C’est là la seule et véritable haine, son propre ennemi intérieur. Une haine extérieure n’est que le reflet non accepté de sa propre haine. Voyons tous ceux et tout ce que nous rejetons, haïssons dans la vie et nous aurons une idée de la haine qui nous anime. Où est-elle cette haine sinon à l’intérieur de nous ? De cette haine, je vais me juger. La haine aura de la haine envers la haine, le propre d’une pathologie auto-immune. Ce comportement prend racine dans « moi je suis un gentil, les autres sont des méchants », « moi c’est bien, les autres c’est mal », une partie victime qui ne veut et ne peut pas reconnaître le bourreau en lui. Voyez le niveau d’acceptation et de tolérance qu’il nous faut pour être en paix ? Le plus dur n’est pas d’accepter, de pardonner et d’avoir de la compassion vis à vis de l’extérieur, les autres. Le plus dur soyons en sûr, c’est de s’accepter tels que nous sommes, de nous pardonner nous-mêmes et d’avoir de la compassion envers soi. Tout cela envers notre victime mais surtout envers notre bourreau intérieur. Le juge extérieur n’est que le reflet du juge intérieur et chacun connaît bien son gros juge intérieur, n’est ce pas ! Savez-vous que notre juge intérieur, est en fait un bourreau déguisé en juge ? C’est une partie de nous qui renvoie le problème à l’extérieur, c’est quand même drôlement plus facile, non ? Mieux encore, c’est une partie de nous qui va auto-censurer des inconscients, tellement elle en a honte. Notre juge va remplir des prisons, enfermant à triple tours des parties de nous-mêmes. Mieux, toujours mieux, notre juge va condamner à mort certaines parties de nous, les poussant très souvent à la mort à travers des actes auto-destructeurs (addictions, malbouffe, accidents, sabotages) et dans les cas les plus extrêmes : le suicide. Voyez la complexité de notre psyché !
L’âne a pour mission de nous éduquer à être ni ombre ni lumière. Il nous invite à être juste, à être aligné et centré. Centré sous entend être au cœur du yin et du yang, à l’équilibre, au milieu, à la fois l’un et l’autre et ni l’un ni l’autre. Ceci est incompréhensible par le mental. Comment puis-je être à la fois ombre et lumière ? Je suis forcément l’un ou l’autre, mais je ne peux être les deux. Pour autant, les deux se doivent de faire l’unité, cela s’appelle l’équilibre. Lorsque nous sommes trop dans l’ombre, excentrés, nous avons peur de la lumière et la rejetons. Lorsque nous sommes trop dans la lumière, excentrés, nous avons peur de l’ombre et la rejetons. Où est-ce que nous pouvons être sans avoir peur, sans rejeter et l’ombre et la lumière ? Un seul endroit : le centre que nous nommons le cœur, le Soi ! C’est alors une nouvelle vision qui vient à nous. Il n’y a plus de dualité car Tout est Un. C’est l’ACCEPTATION TOTALE DE TOUT, l’acceptation de toute la réalité de ce monde tant dans son passé, dans son présent que dans son futur. Le mal et le bien ont disparu de notre psyché. L’épreuve de l’âne, vous l’aurez compris est de haute voltige ! S’élever au niveau de conscience qui permettra à notre psyché de se libérer d’une vision duelle de la vie, une vision assez religieuse à dépasser donc ! Il est difficilement assimilable pour notre mental égotique d’imaginer cette Unité totale, cette non séparation. C’est là l’énergie de l’ange androgyne, ni masculin, ni féminin. La dimension angélique dans son archétype symbolise l’Unité et donc notre ange gardien qui ne voit ni le bien, ni le mal, qui ne juge pas ! Il voit la vie, il accepte la vie et point ! C’est son acceptation totale qui recentre automatiquement tout. Il maintient l’équilibre ! L’épreuve de l’âne serait donc de passer … de l’âne à l’ange… ou de l'ange sur l'âne... Une épreuve qui nécessitera un niveau extrêmement élevé de conscience, un niveau de guérison très important et bien sûr de très très nombreux karmas d’apprentissage!
La Médecine de l'Âne
La Médecine de l’Âne est une Médecine utilisée par tous les chamans. A dire que chaque chaman est un âne, il n’y a qu’un pas ! C’est d’ailleurs marqué dedans « cham-âne ». L’âme du chaman est un puissant miroir souvent déformant et amplifiant. Ainsi devant l’élève peut respectueux de lui et des autres, mais cela va de paire, l’âme du chaman se transforme en salle des miroirs. L’élève verra à travers le chaman tout ce qu’il n’aime pas de lui, tout ce qu’il ne veut pas voir, tout ce qui le dérange, faisant ainsi de l’âne chaman, un pestiféré diabolique. Chacun verra donc son propre diable à travers un chaman C'est pourquoi ce dernier est finalement assez dérangeant! Ceci est d’ailleurs aussi vrai avec « les autres ». La leçon est drôle. Elle éveille l’élève en lui montrant ses lunettes déformantes et tout ce qu’il n’accepte pas de lui-même.
Au-delà du miroir, l’âne enseigne l’équilibre et l’Unité à celui qui est prêt. C’est la mort du « Moi » pour renaitre au « Soi ». Devenir Rien pour être Tout. Cela veut dire que la médecine de l’âne nous amène à atteindre un haut niveau de sagesse et de folie à la fois. A ce stade, il n’y a plus d’appartenance. Après un long chemin pour s’appartenir à soi, et non aux autres, la vie vous annonce que la nouvelle voie consiste à ne plus s’appartenir mais accepter d’Être le Un, accepter le fait que: Je Suis. ! Dévotion totale ! Vous êtes alors l’Unité, vous l’incarner, vous êtes un maître, une âme animée. Votre âme vous anime et indifférent de votre esprit qui est au service totale, elle devient permetteuse d’un équilibre globale. La médecine de l’âne est le propre du Chaman… qui est de maintenir l’équilibre. Cela sous tend qu’il a lui-même atteint l’équilibre. Il ne faudra pas moins d’une vingtaine d’année d’enseignement chamanique pour qu’il y parvienne… si tout va bien !
Enfin, le long chemin de persévérance de l’âne nous permettra de devenir le « miroir de l’Unité » sur terre. De l’âne à l’âme… il n’y a qu’un pas : « M la N ».